Gréement : Mâts en bois ; 2 voiles carrées sur le mât de misaine ; 2 focs, une trinquette; grand-voile à corne et flèche sur le grand mât .
Matériaux : Coque et pont en bois ; mâts et autres espars en bois .Date et lieu de lancement : fin du dix-neuvième siècle sur le lac Baïkal (Sibérie)
Autres noms : ?.
Utilisation initiale : voilier de transport sur le lac Baïkal.
Dernière nationalité connue : Russe.
Dernier port d'attache connu : Saint-Petersbourg (en 2004).
Dernière utilisation connue : Voilier de croisière privé.
Signification du nom : Avos : c'est le nom d'origine du bateau ; une frégate russe a porté ce nom au début du dix-neuvième siècle. Cela pourrait vouloir dire Le paon, mais c'est sous réserve.
Longueur de la coque : 16 mLongueur à la flottaison : 12 m
Largeur maximale : m
Tirant d'eau maximal : m
Tirant d'air : m
Déplacement : t .
Surface maxi de voilure : m²
État : peut-être détruit; aucune nouvelle de ce bateau depuis Brest 2004.
Avant : Étrave à guibre ;figure de proue représentant une femme ; gaillard d'avant.
Arrière : Château arrière faisant penser à un minuscule galion.
Coque : rouge, ligne longitudinale blanche .
Superstructures : château arrière;.
Qu'est devenu ce petit brick-goélette qui ne ressemblait à rien d'autre ? Il était tellement fatigué, lors de son passage à Brest en 2004, que les autorités maritimes ne voulaient pas le laisser repartir, ni même participer à la parade vers Douarnenez. L'année précédente, il avait participé à l'Armada de Rouen, ou on avait déjà remarqué son mauvais état.
Ce bateau, que son propriétaire et son équipage ne pouvait plus entretenir par manque de moyens, méritait pourtant qu'on s'y intéresse. Récupéré à l'état d'épave au fond du lac Baïkal en 1985, il date de la fin du dix-neuvième siècle et est un exemplaire unique de la flotte qui naviguait autrefois sur ce grand lac autrefois. Après sa remise en état, en presque 20 ans, le voilier a beaucoup voyagé avec ses propriétaires durant presque 20 ans : il est même allé jusqu'au Viet-Nam !Mais les réparations étaient de plus en plus aléatoires, faute d'argent.
La coque rouge rappelait une miniature de frégate, avec son château arrière, son étrave à guibre, son beaupré et sa figure de proue.La barre à roue est située en avant du château. Quant au gréement, il comporte 2 vergues et 2 voiles carrées sur le mât de misaine. On se demandait comment des vergues aussi fragiles, surtout celle de hunier, pouvaient supporter le poids d'un gabier !
Le bateau ne participe plus aux rassemblements de bateaux traditionnels et on ne trouve aucun renseignement sur lui, sur internet. Si un lecteur de ce site sait ce qu'il est devenu, nous serions heureux qu'il nous adresse un commentaire...
Ce bateau, que son propriétaire et son équipage ne pouvait plus entretenir par manque de moyens, méritait pourtant qu'on s'y intéresse. Récupéré à l'état d'épave au fond du lac Baïkal en 1985, il date de la fin du dix-neuvième siècle et est un exemplaire unique de la flotte qui naviguait autrefois sur ce grand lac autrefois. Après sa remise en état, en presque 20 ans, le voilier a beaucoup voyagé avec ses propriétaires durant presque 20 ans : il est même allé jusqu'au Viet-Nam !Mais les réparations étaient de plus en plus aléatoires, faute d'argent.
La coque rouge rappelait une miniature de frégate, avec son château arrière, son étrave à guibre, son beaupré et sa figure de proue.La barre à roue est située en avant du château. Quant au gréement, il comporte 2 vergues et 2 voiles carrées sur le mât de misaine. On se demandait comment des vergues aussi fragiles, surtout celle de hunier, pouvaient supporter le poids d'un gabier !
Le bateau ne participe plus aux rassemblements de bateaux traditionnels et on ne trouve aucun renseignement sur lui, sur internet. Si un lecteur de ce site sait ce qu'il est devenu, nous serions heureux qu'il nous adresse un commentaire...
Bonjour,
RépondreSupprimerJ'ai vu et aimé ce bateau à Dz 2000 dans un état très moyen et à Dz 2004 en bien meilleur état, avec notament la figure de proue. J'ai bien discuté avec un membre de l'équipage russe, qui m'a montré l'album photo de son histoire, de la sortie du lac Baikal jusqu'à Dz, son tour du monde ancien. Il m'a dit que le bateau serait acheté par un ialien dont la fille sort avec un des jeunes russes. Il y avait un italien d'environ 50 ans avec eux mais ce n'était pas le futur propriétaire. L'argent de la vente devait financer la restauration d'un autre bateau russe, genre drakkar mais des cotes de la baltique. L'Avos a probablement changé de nom et s'il navigue encore, c'est surement en méditérannée. J'ai fait pas mal de photos de l'Avos.