Matériaux : Coque et pont en bois ; mâts en bois.
Date et lieu de lancement : réplique : 1992 par le chantier Clochet, au Légué, le port de Saint-Brieuc ; original (la Jeanne d'Arc) construit en 1895.
Autres noms : aucun
Utilisation initiale : voilier de croisière et de promenade ; l'original était un bateau de pêche (chalutage) et a aussi utilisé comme sablier.
Dernière nationalité connue : française
Dernier port d'attache connu : Saint Brieuc.
Dernière utilisation connue : Voilier associatif de croisière et de promenade.
Signification du nom : Le grand Léjon est un phare à bandes blanches et rouges situé au milieu de la baie de Saint-Brieuc, à égale distance entre l'île de Bréhat et le cap Fréhel.
Longueur hors-tout : 20,7 mLongueur de la coque : 13,4 m
Longueur à la flottaison : m
Largeur maximale : 4 m
Tirant d'eau maximal : 2,4 m
Tirant d'air : m
Déplacement : 30 t.
Surface maxi de voilure : 150 m²
État : récent, bien entretenu
Avant : étrave peu inclinée ; long bout-dehors.
Coque : vert foncé ; pavois et moustache vert clair.
Superstructures : très discrètes (descentes, panneaux)
Le Grand Léjon a été construit pour participer au concours des bateaux des côtes de France, à Brest, en 1992 ; il a été un des heureux lauréats, car c'est une réplique authentique d'un lougre de chalutage de la baie de Saint-Brieuc, à la fin du dix-neuvième siècle.
Avec ses deux voiles au tiers, Le Grand Léjon fait penser à une petite bisquine à laquelle il manquerait un mât. Mais la coque est plus trapue et seul le grand mât porte un hunier (un seul). Ses formes de coque le rapprochent davantage des chasse-marées ; certains lougres étaient utilisés comme gabares sablières. C'est un bateau très marin, peu rapide dans le petit temps mais puissant dans la brise. Il est géré par une association et participe à la plupart des rassemblements de voiliers traditionnels.
Avec ses deux voiles au tiers, Le Grand Léjon fait penser à une petite bisquine à laquelle il manquerait un mât. Mais la coque est plus trapue et seul le grand mât porte un hunier (un seul). Ses formes de coque le rapprochent davantage des chasse-marées ; certains lougres étaient utilisés comme gabares sablières. C'est un bateau très marin, peu rapide dans le petit temps mais puissant dans la brise. Il est géré par une association et participe à la plupart des rassemblements de voiliers traditionnels.
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