Type : Goélette franche à 2 mâts.
Gréement : 2 mâts composés, à chouques, en 2 parties chacun (plus un mât de pavillon sur le grand mât) ; voile à corne et flèche sur chaque
mât ; génois à enrouleur, trinquette.
Matériaux : Coque composite (structure en acier, quille en chêne et plomb, bordés en teck) pont en teck ; mâts et espars en bois (pin d'Oregon).
Date et lieu de lancement : 1910 au chantier Camper and Nicholson, à Gosport (Sud de l'Angleterre, à l'entrée de la rade de Portsmouth). Architecte Charles Nicholson.
Autres noms : Sylvana, lors du lancement. Plusieurs autres noms, dont Pays de France, Diane, Vira ...
Utilisation initiale : yacht
Dernière nationalité connue : ?
Dernier port d'attache connu :
Dernière utilisation connue : Yacht privé, pouvant embarquer des "invités" en charter.
Signification du nom : La constellation d'Orion est une des constellations les plus belles et les plus connues, très reconnaissables dans le ciel d'hiver. Selon la mythologie grecque, Orion un chasseur géant transformé en amas d'étoiles par Zeus.
Longueur hors-tout : 49,3 m
Longueur de la coque : 38,65 m
Longueur à la flottaison : 27,4 m
Largeur maximale : 7,3 m
Tirant d'eau maximal : 4,2 m
Tirant d'air : m
Déplacement : t
Surface maxi de voilure : 800 m²
État : plusieurs fois restauré, parfois à la suite de dégradations importantes ; 70% des emménagements intérieurs sont néanmoins d'origine. La dernière grande restauration a été réalisée à La Ciotat, entre 2003 et 2005.
Arrière : voûte très élancée ; gui dépassant assez largement le tableau arrière.
Coque : blanche.
Superstructures : rouf en bois verni entre les 2 mâts.
Orion est
une des grandes goélettes les plus anciennes, construite en 1910 près de Portsmouth, pour un officier britannique.. En 1913, elle a été rachetée par le comte J. de Polignac, qui l'a rebaptisée Pays de France en 1919, puis par un journaliste français en 1921, puis par un Anglais, un Argentin. C'est un Espagnol qui lui a donné son nom d'Orion et l'a basée à Cadiz. Elle a eu plusieurs propriétaires espagnols, a été un temps gréée avec des voiles d'étai, a démâté entre Barcelone et Marseille, a été regréée comme à l'origine, est devenue italienne...Une histoire complexe comme peut l'avoir un navire de plus de 110 ans..En 2019, elle était présente à Cannes lors des régates royales, mais nous n'avons pas eu la chance de la voir sous voiles, elle ne participait pas aux courses. Elle arborait le pavillon britannique. Elle peut accueillir 10 passagers, avec 11 membres d'équipage.
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