Gréement : mât en 2 parties (à chouque) ; une grand-voile à corne et un flèche ; 2
focs, une trinquette. Bout-dehors ; Un mât de tapecul portant 1 voile à corne et 1 flèche.
Date et lieu de lancement : 1882 en Angleterre (chantier Camper et Nicholson à Gosport), sur des plans de Ben Nicholson
Autres noms : ?
Utilisation initiale : voilier de course
Dernière nationalité connue : portugaise (française de 2013 à 20019)
Dernier port d'attache connu : ? Jusqu'à début 2020, Douarnenez (Finistère) au Port-Rhu, près du port-musée.
Dernière utilisation connue : Voilier de croisière et de promenade
Signification du nom : Germaine : un prénom, peu porté aujourd'hui. C'est apparemment le nom d'origine du voilier. C'est aussi une chanson très connue de Renaud.
Longueur HT : 15 m
Longueur à la flottaison : 10,4 m
Largeur maximale : 2,85 m
Tirant d'eau maximal : 2,05 m
Tirant d'air : m
Déplacement : 18 t.
Surface maxi de voilure : ? m²
Arrière : voûte très élancée ; tableau en bois verni, portant le nom du voilier ; barre franche ; queue de malet recourbée vers le bas ("queue de maquereau")
Superstructures : rouf allongé en bois verni, très discret.
Germaine a été construit en 1882, essentiellement pour régater. Il a changé plusieurs fois de gréement, tantôt en yawl, tantôt en cotre, parfois avec un grand-mât raccourci (à pible, sans mât de flèche). Comme beaucoup de bateaux très anciens, son histoire est "en pointillés" ; il a par exemple servi de house-boat dans les années 1950, avant d'être à nouveau abandonné. Il a été retrouvé en 1972 par le chantier Camper et Nicholson, qui voulait le restaurer. Faute de moyens, l'idée a été abandonnée et le bateau se dégradait de plus en plus.
Ce n'est qu'en 1997 que le propriétaire actuel, Patrick Bigand a pu l'acquérir, pour une livre symbolique, et en décider la restauration. Celle-ci est plutôt une reconstruction, et le bateau est à nouveau magnifique; Mis à l'eau en mai 2013, il a quitté l'Angleterre en septembre pour Douarnenez (traversée Lowestoft - Douarnenez)
C'est désormais un des plus vieux voiliers français (il a 14 ans de plus que Pen Duick ou Belem) et parmi les plus beaux. Douarnenez (tout le bateau n'est pas visible). Il s'est fait remarquer par son élégance lors des parades de Temps-fête 2018.
Nous lui trouvons de nombreuses ressemblances avec Partridge, magnifique plan Camper et Nicholson de 1885, gréé en cotre, qui fréquente assidûment les régates méditerranéennes.
D'autres détails et des photos du bateau sous voiles sur le site de Germaine : cliquer ici.
Le numéro 265 du Chasse-Marée, paru en janvier 2015, comporte un article sur Germaine et son propriétaire, Patrick Bigand.
Début Janvier 2020, Patrick Bigand a anooncé qu'il vendait son bateau à un Portugais. Le bateau est parti pour le Portugal, sur remorque.
Ce n'est qu'en 1997 que le propriétaire actuel, Patrick Bigand a pu l'acquérir, pour une livre symbolique, et en décider la restauration. Celle-ci est plutôt une reconstruction, et le bateau est à nouveau magnifique; Mis à l'eau en mai 2013, il a quitté l'Angleterre en septembre pour Douarnenez (traversée Lowestoft - Douarnenez)
C'est désormais un des plus vieux voiliers français (il a 14 ans de plus que Pen Duick ou Belem) et parmi les plus beaux. Douarnenez (tout le bateau n'est pas visible). Il s'est fait remarquer par son élégance lors des parades de Temps-fête 2018.
Nous lui trouvons de nombreuses ressemblances avec Partridge, magnifique plan Camper et Nicholson de 1885, gréé en cotre, qui fréquente assidûment les régates méditerranéennes.
D'autres détails et des photos du bateau sous voiles sur le site de Germaine : cliquer ici.
Le numéro 265 du Chasse-Marée, paru en janvier 2015, comporte un article sur Germaine et son propriétaire, Patrick Bigand.
Début Janvier 2020, Patrick Bigand a anooncé qu'il vendait son bateau à un Portugais. Le bateau est parti pour le Portugal, sur remorque.
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