avancement des travaux fin mars 2018 |
Gréement : Non encore gréé.
Date et lieu de lancement : 1916 à Palma de Majorque.
Autres noms : Principat de Catalunya
Utilisation initiale : goélette de commerce (pailebot majorquin)
Dernière nationalité connue : Française
Dernier port d'attache connu : sans doute Port-Vendres.
Dernière utilisation connue : Voilier-école
Signification du nom : Miguel Caldentey : Le nom de l'armateur de Palma (un minotier) qui l'a fait construire .
Longueur HT : 27,6 m
Longueur de la coque : 25,3 mLongueur HT : 27,6 m
Longueur à la flottaison : m
Largeur maximale : 6,55 m
Tirant d'eau maximal : 2,1 m
Tirant d'air : m
Déplacement : t.
Surface maxi de voilure : 417 m²
Coque : blanche ; peinture en cours d'achèvement.
Superstructures : pas encore posées.
Miguel Caldentey est un des rares pailebots encore en état de naviguer. Il ressemble, en plus petit, à la goélette de Barcelone Santa Eulalia, qui est gréée à 3 mâts. D'abord destiné au commerce avec l'Amérique du sud, il a transporté en Méditerranée de la farine, des amandes et des agrumes, jusqu'en 1972.
Racheté en 1973 par une compagnie française pour devenir un voilier de croisières, il a reçu le nom de Llevantina mais le projet n'a pas abouti: le bateau, racheté l'année suivante par la commune de Canet en Roussillon, a été abandonné malgré quelques tentatives de restauration, échouant à cause de dégâts dus à des intempéries (notamment 2 tempêtes). La vieille coque s'est peu à peu dégradée et c'est quasiment une reconstruction qui a débuté en 2008 et continue plus de 10 ans après. Les travaux ont eu lieu à Mandirac, sur le bord du canal de la Robine, qui relie Narbonne à la mer. La mise à l'eau approche enfin ; probablement en mars ou en avril 2020, à Gruissan. Viendront ensuite la pose des mâts et du gréement, à son port d'attache, Port-Vendres.
Miguel Caldentey est un des rares pailebots encore en état de naviguer. Il ressemble, en plus petit, à la goélette de Barcelone Santa Eulalia, qui est gréée à 3 mâts. D'abord destiné au commerce avec l'Amérique du sud, il a transporté en Méditerranée de la farine, des amandes et des agrumes, jusqu'en 1972.
Racheté en 1973 par une compagnie française pour devenir un voilier de croisières, il a reçu le nom de Llevantina mais le projet n'a pas abouti: le bateau, racheté l'année suivante par la commune de Canet en Roussillon, a été abandonné malgré quelques tentatives de restauration, échouant à cause de dégâts dus à des intempéries (notamment 2 tempêtes). La vieille coque s'est peu à peu dégradée et c'est quasiment une reconstruction qui a débuté en 2008 et continue plus de 10 ans après. Les travaux ont eu lieu à Mandirac, sur le bord du canal de la Robine, qui relie Narbonne à la mer. La mise à l'eau approche enfin ; probablement en mars ou en avril 2020, à Gruissan. Viendront ensuite la pose des mâts et du gréement, à son port d'attache, Port-Vendres.
La goélette est classée Monument historique et labellisée B I P.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire